Rejoignez le Centre Shamba à la COP 28 

Les systèmes alimentaires sont à la fois victimes et acteurs du changement climatique. Alors que les gouvernements se préparent à négocier les moyens de réduire les émissions de gaz à effet de serre, l'agriculture sera un point clé de l'ordre du jour. Avec leur déclaration sur les systèmes alimentaires résilients, l'agriculture durable et l'action climatique, les Émirats arabes unis ont déjà appelé les gouvernements nationaux à aligner leurs stratégies nationales en matière de systèmes alimentaires sur leurs plans d'action pour le climat.   

Rejoignez-nous à la COP 28 cette année pour discuter des liens entre l'action climatique et la transformation des systèmes alimentaires. Notre vice-présidente, Seyni Nafo, dirigera une fois de plus les négociateurs africains. Deux de nos cofondateurs, Francine Picard et Oshani Perera, seront sur place, ainsi que notre conseillère politique principale, Lysiane Lefebvre. 

Nos activités sont également mises en avant sur le pavillon Hesat2030 COP 28 et sur la campagne des 12 jours de la COP sur LinkedIn.

L'événement parallèle du Centre Shamba lors de la COP28 

Le Shamba Centre for Food & Climate a le plaisir d'annoncer qu'il co-organise un événement parallèle, Rendre le financement national plus efficace : Instruments catalytiques et environnements favorables pour des systèmes alimentaires nets zéro et résilients.  

Un rapport récent du Centre Shamba et de la Plateforme mondiale des donateurs pour le développement rural(GDPRD) indique comment le financement mixte offre la possibilité de mobiliser des investissements plus importants avec 1 dollar US de financement concessionnel potentiel apportant 4 dollars US supplémentaires de financement commercial dans le secteur agroalimentaire. Cet événement parallèle explorera comment le leadership national et les règles de gouvernance peuvent façonner les conditions pour encourager l'investissement à faible teneur en carbone dans des systèmes alimentaires résilients et à consommation nette zéro en attirant des prêts étrangers et nationaux par le biais d'arrangements financiers mixtes. 

Animé par l'Honorable Jeremy Lissouba, Membre du Parlement, République du Congo, cet événement parallèle aura lieu le 8 décembre à 15h30 GST sur le Pavillon de la Commission Climat du Bassin du Congo. Il est co-organisé par le gouvernement du Congo, la Commission Climat du Bassin du Congo, le Réseau parlementaire africain pour le système alimentaire(AFSPaN), la Banque africaine de développement, Akademiya2063, la Plateforme mondiale des donateurs pour le développement rural(GDPRD) et le Centre Shamba pour l'alimentation et le climat.

Les orateurs confirmés sont les suivants

  • Ammad Bahalim, Fondation Bill et Melinda Gates

  • Chizuru Aoki, Fonds pour l'environnement mondial

  • Rachel A. Aron, Global Ethical Finance et Tugo Cwiny Management Consulting

  • Muhammad El Demerdash, Engazaat (entreprise d'eau solaire)

  • John Mundy, One Acre Fund

  • Clôture : Jeremy Lissouba, Membre du Parlement, République du Congo, Réseau parlementaire africain pour le système alimentaire. 

L'événement sera animé par Oshani Perera, cofondateur et directeur des programmes du Centre Shamba.

Événement parallèle de la Coalition Faim Zéro 

La transformation des systèmes alimentaires et l'action climatique sont d'une importance capitale pour un avenir durable. Des interventions politiques sont nécessaires pour éliminer la faim, améliorer la nutrition et soutenir les petits exploitants agricoles tout en garantissant la résilience climatique.   

Afin de mieux comprendre les domaines d'action commune entre le climat et l'agriculture, la Coalition Faim Zéro organise un événement parallèle intitulé Une priorisation des options politiques et programmatiques : Quels sont les points de synergie exploitables entre la transformation des systèmes agroalimentaires, la nutrition, la réduction de la pauvreté et l'action climatique ?

Il mettra en évidence la complémentarité entre l'action climatique et la transformation du système alimentaire en identifiant les domaines de synergies et d'optimisation des ressources. Francine Picard, cofondatrice et directrice des partenariats du Centre Shamba, animera l'événement.  

L'événement parallèle est co-organisé par la République du Congo, la Commission du Bassin du Congo pour le Climat, le Réseau des Parlementaires Africains pour les Systèmes Alimentaires (AFSPaN), le Réseau des Alliances Parlementaires d'Afrique Centrale pour la Sécurité Alimentaire et Nutritionnelle, la Coalition Faim Zéro et la FAO et aura lieu le 10 décembre à 10h00 GST sur le Pavillon de la Commission du Bassin du Congo pour le Climat

Les deux événements seront retransmis en direct sur les chaînes Facebook et YouTube de la Commission Climat du Bassin du Congo.

Ressources

  • Innovation dans le financement de l'agroalimentaire

    Le Centre Shamba a ouvert aux commentaires son projet de document de consultation sur l'enquête avec le GDPRD sur le financement durable des systèmes agroalimentaires. Cette approche a été adoptée avec succès pour les projets climatiques.

    Libérer le pouvoir catalytique du financement des donateurs pour atteindre l'ODD 2

    L'enquête a examiné comment les donateurs peuvent être plus audacieux dans leur financement afin d'accroître l'impact sur le développement tout en attirant les institutions de financement du développement et les investisseurs privés.

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  • Rapport sur les échanges dette-nature

    Le mouvement en faveur de l'échange de dettes contre des actifs naturels s'intensifie à mesure que les pays en développement sont confrontés à une crise croissante de la dette souveraine et à l'urgence mondiale d'investir dans la lutte contre le changement climatique, la perte de biodiversité et la dégradation des océans.

    Le Centre Shamba pour l'alimentation et le climat a publié un rapport qui analyse les récents échanges dette-nature au Belize, en Équateur et aux Seychelles. Il examine les opportunités, les défis et les prochaines étapes à une époque où la dette souveraine est élevée, les crises climatiques et naturelles et l'insécurité alimentaire croissante.

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  • Un rapport montre que l'Afrique a besoin d'une concurrence plus forte pour éradiquer la faim

    La concentration excessive du marché dans les systèmes agroalimentaires africains nuit aux producteurs, aux MPME et aux consommateurs.

    Le Centre Shamba a publié un rapport historique en trois parties : un examen de l'impact de la concentration des marchés agroalimentaires en Afrique, une analyse de la situation du droit et des institutions de la concurrence dans les pays d'Afrique subsaharienne et un programme de réforme visant à renforcer les régimes de concurrence.

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